Qui a dit que seules les personnes âgées avaient les cheveux gris ? Moi en tout cas je n'en ai pas. Mais pourquoi d'ailleurs ?
Le gris – ou le blanc – est vraiment la « couleur » naturelle des cheveux. Les cellules pigmentaires fournissant de la mélanine et situées à la base de chaque follicule pileux, donnent leur couleur à nos cheveux lorsque nous sommes jeunes. Avec l'âge, la plupart de ces cellules meurent : les cheveux perdent alors leur couleur et deviennent gris, ou blanc.
Le processus de décoloration prend entre dix et vingt ans. La totalité des cheveux d'une personne (qui se comptent par centaines de milliers) ne deviennent pas gris en une seule nuit ! Curieusement, la production des cellules pigmentaires s'accélère souvent avec l'âge : les cheveux foncent avant que les pigments ne cessent de se renouveler.
Mais ne vous inquiétez pas, ce n'est pas parce que vous avez des cheveux blancs que vous êtes vieux. Les premiers cheveux blancs peuvent arriver dès la vingtaine : donc avoir des cheveux de cette couleur n'est pas synonyme d'un âge avancé !
Ces mots auraient été prononcés par Jacques de Molay, grand-maître de l'Ordre des Templiers, lors de son supplice sur le bûcher de l'île aux Juifs à Paris le 19 mars 1314.
Aujourd'hui, cher lecteur, je souhaiterais vous parler du temps qui passe et qui revient, des journaux reçus à intervalle régulier, des bulletins de notes… Vous m'avez comprise, il sera question aujourd'hui des adjectifs qualifiant une période.
Comme moi, il vous est sûrement déjà arrivé de vous demander quelle est la différence entre une rue, une avenue, un boulevard, de chercher une logique, logique inlassablement détruite par les illogismes de certaines de nos voies.
Mais il existe des règles, loin d'être absolues et obligatoires, mais que je vous livre :
Une rue est caractérisée par une largeur relativement faible et par son absence de contre-allées.