Tout fidèle lecteur omnnilogiste se rappellera avoir déjà lu un article sur les papillotes et ne manquera pas de s'inquiéter sur l'état de santé mentale du rédacteur pour ce doublon…
Non, non, qu'il se rassure, les papillotes dont il sera ici question sont celles que l'on trouve dans le cheveux de ces dames et demoiselles(1) et que l'on nomme aussi « boucles anglaises ».
Cette mise en valeur des longues chevelures par les grandes stars, sur les marches du palais de Cannes, comme les moins connues de nos compatriotes, jusque dans les salles de classe, est bien connue pour être obtenue à l'aide d'un fer à friser.
Mais il existe aussi la méthode la plus écologique, utilisée par ces jeunes filles qui se trouvaient dans les internats des années 50…
Il convenait alors de découper des bandes de papier journal, de les faire tremper dans de l'eau, de les natter avec la chevelure et de finir le tour par un nœud papillon, qui avait alors l'apparence d'une papillote.
Une hypothèse « scientifique » fut avancée pour expliquer la présence des légendes vampiriques en Europe de l'Est : on observa en effet qu'une maladie réunissant plusieurs symptômes de l'état vampirique était particulièrement courante en raison des mariages consanguins – il s'agit de la porphyrie, maladie congénitale du sang qui se manifeste généralement par plusieurs symptômes détaillés ci-dessous.
Tous les détecteurs de mensonges partent du principe qu'un menteur se trahit par des signes extérieurs (physiques) : tremblement de la voix, transpiration, accélération du rythme cardiaque…