Un des premiers détecteurs de mensonge, peu fiable à l'époque.

Tous les détecteurs de mensonges partent du principe qu'un menteur se trahit par des signes extérieurs (physiques) : tremblement de la voix, transpiration, accélération du rythme cardiaque…

Certains appareils plus sophistiqués mesurent des paramètres physiologiques : pouls, pression artérielle, humidité de la peau, activité respiratoire… D'autres (jugés moins fiables) analysent même la voix. Ces détecteurs sont très utilisés aux États-Unis mais ne sont pas considérés comme une preuve juridique en France – l'analyse ne peut qu'étayer le dossier.

Mais les innocents peuvent le rater s'ils ont une quelconque montée d'émotion : colère, peur, éveil sexuel. Pas seulement de la culpabilité !

Ce qui peut permettre de détecter un mensonge c'est le visage : 43 muscles combinés pour produire une possibilité de 10 000 expressions faciales. Donc si vous les apprenez toutes, vous n'aurez plus besoin de détecteur de mensonge !