L'Hypothèse de Riemann est le Graal des mathématiciens depuis sa formulation en 1859 par Bernhard Riemann.
Qu'est ce qui peut donc entraîner un tel engouement de la part de la communauté mathématique ?
Et bien ce sont ses mystérieux liens avec la répartition apparemment chaotique des nombres premiers.
On introduit la fonction pi de « décompte des nombres premiers » définie par :
\(\pi(x)=\) quantité de nombres premiers inférieurs à x, x appartenant à \(\mathbb{N}\).
On peut approcher cette fonction par de nombreuses fonctions (dont le logarithme intégral, ou la fonction R de Riemann).
Soit \(\zeta(s)=\sum_{k=1}^{\infty} \frac{1}{k^s}\).
Cette fonction est ainsi définie pour \(s\) complexe de partie réelle supérieure à 1, mais peut être étendue (prolongée analytiquement) à tout le plan complexe privé de 1.
La conjecture de Riemann est que cette fonction ne s'annule, en dehors des entiers pairs, que sur la droite complexe des nombres de partie réelle égale à 1/2.
Tout l'interêt de la véracité de cette hypothèse est qu'alors, le terme correctif d'incertitude des approximations de \(\pi(x)\) sera connu avec précision, et le nombre de nombres premiers inférieurs à un entier donné sera donc beaucoup mieux connu.
Autrefois partie intégrante de la constellation du Scorpion, dont elles représentaient les pinces, ces étoiles forment aujourd'hui une constellation à part entière : la Balance, 7ème constellation du Zodiaque.
Vous pensiez savoir reconnaître la Grande Ourse dans le ciel nocturne… En êtes vous bien sûr ? Si la constellation à laquelle vous pensez est composée de sept étoiles et a la forme d'une casserole, alors c'est raté, ce n'est pas la grande ourse.
Cette constellation qui est sans doute la première que vous ayez appris à reconnaître (et peut-être même la seule) est en fait surnommée « la grande casserole » ou « le grand chariot » et ce n'est qu'une partie de la grande ourse – plus précisément le dos et la queue de l'animal.
Voici le retour des beaux jours, et avec eux le plaisir de la flânerie dans son jardin. Mais ces jardins sont si variés… quoi de commun entre les parcs du château de Versailles et un modeste jardin de curé ? Mais au fait, qu'est-ce donc qu'un « jardin de curé » ?
S'il ne nécessite pas une grande surface, se devant même plutôt d'être modeste et simple, il doit néanmoins répondre à un certain nombre de critères, d'ailleurs bien logiques…