De Gaulle s'exprime ainsi pour expliquer à Jules Moch, son ministre des transports, sa décision de démissionner.
Président du Conseil depuis septembre 1944, le général de Gaulle est élu président du Gouvernement Provisoire de la République Française par l'Assemblée Constituante le 13 novembre 1945. Il se voit contraint de gouverner avec les divers partis de la résistance que sont le parti communiste de Maurice Thorez, les socialistes de Félix Gouin et le MRP.
Refusant de confier au PCF un des trois leviers commandant la politique étrangère (« la diplomatie qui l'exprime, l'armée qui la soutient et la police qui la couvre »), le général de Gaulle voit le climat se dégrader au sein du gouvernement. Il peste contre cette politique des partis qu'il aborrhe (« on ne peut servir à la fois la France et son parti ») et s'insurge devant les combinaisons des députés (« ils s'imaginent qu'on peut gouverner avec des palabres ; eh bien, qu'ils essaient »).
Fidèle à sa pensée (« on ne peut être à la fois l'homme des grandes tempêtes et celui des basses combinaisons »), de Gaulle annonce sa démission le 20 janvier 1946.
Tout fidèle lecteur omnilogiste les a remarquées dans les rues, foires ou autres événements de voie publique : ces barrières métalliques, sans doute guère esthétiques, mais fort pratiques, s'accrochant aisément les unes aux autres et formant alors un cordon difficilement destructible.
Certains veulent mettre l'amour en bouteille, d'autres cherchent à mettre l'Homme sur un disque dur. L'article décrit une avancée dans le domaine du stockage d'information. Une équipe a réalisé le stockage de plusieurs images, d'un programme informatique et, ironie, d'un ouvrage de génétique, le tout sur un disque de verre à l'aide d'une chaîne d'ADN.
Au XVIIe siècle, le Pont-Neuf à Paris était le plus moderne des ponts de la capitale, en pierre ! Pour passer le pont, il fallait acquitter un droit de passage, le péage quoi !
Le pont était un endroit très animé – comme nos rues en quinzaine commerciale – et les bateleurs, montreurs d'ours et de singes ne manquaient pas.
Payer en monnaie de singe, c'était payer en nature par quelques pirouettes du singe pour amuser les gardiens du péage… comme si vous chantiez une chanson guillerette à l'employée médusée du péage au lieu de lui montrer votre carte bleue.