Dans le monde d'aujourd'hui, il existe deux sortes de panneaux solaires. Deux technologies s'affrontent, chacune d'elles ayant ses avantages et ses inconvénients.
La première, la plus simple de mon point de vue, utilise la chaleur des rayons du soleil. L'énergie calorifique est concentrée en un tube contenant une huile synthétique ou de l'eau, qui est alors chauffée à des centaines de degrés. Le reste ensuite est le même que pour une centrale thermique : la chaleur chauffe de l'eau qui se transforme en vapeur haute pression, fait tourner un rotor qui engendre la rotation d'une grosse dynamo et voila de l'électricité.
Avantages : énergie renouvelable. Technologie relativement facile à mettre en place. Possibilité de stockage par des sels fondus. Adaptée à une production à grande échelle.
Inconvénients : nécessite une grande surface. Peu d'évolution possible.
La plus connue désormais : convertir directement les rayon du soleil en électricité. C'est le solaire photovoltaïque. Grosso modo l'énergie des rayons du soleil est absorbée par le panneau solaire. Les électrons qui ont absorbé cette énergie en possèdent suffisamment pour être arrachés de la plaque. Or, déplacement d'électrons = électricité.
Avantages : énergie renouvelable. Utile pour les installations isolées. Grande marge d'évolution.
Inconvénients : Stockage de l'énergie difficile. Coût élevé du panneau. Inadaptée pour une production à grande échelle.
Attention à toi, cher lecteur, le titre est bien danger. Dans ces omnilogismes – car il y en aura plusieurs ! – seront recensés les voyages, les repas, les modes de vies, etc. qui sont les plus dangereux pour les humains.
Nous sommes en 1902(1). À cette époque, si les physiciens se complaisent à penser que tout a été découvert, les mathématiciens, eux, forts des enseignements de Georg Cantor, explorent le monde complexe des ensembles, et commencent à faire des maths pour les maths. En effet, puisque les physiciens se targuent de n'avoir plus rien à faire, nul n'est besoin de faire des maths pour la physique, et ça tombe bien, on va enfin avoir le temps de se consacrer à de vrais problèmes de maths, comme les 23 problèmes de Hilbert par exemple.
(1) ↑ Bien malin celui qui viendrait me corriger en arguant que la date de parution de cet article est postérieure à 1902 de plus d'un siècle ; il s'agit là d'un présent historique, vous vous en doutez bien.
Halalalala… Vous devez être heureux d'avoir le privilège de lire le fruit de mes pensées profondes et pleines d'intelligence(2), de m'admirer à l'œuvre, tel un peintre impressionniste, de pouvoir contempler un texte qui plus tard sera regroupé dans un ouvrage relié en cuir, plus vendu encore que la Bible…